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Vaclav Havel, l'ancien président de la République, et sa femme Dagmar ont participé, mercredi soir dernier, à une soirée organisée à la Maison blanche par le chef de l'Etat américain, Georeg W. Bush, en l'honneur du dramaturge anglais William Shakespeare. L'information a été transmise vendredi soir par l'ambassade de République tchèque à Washington. A cette occasion, et devant une soixantaine d'invités, George W. Bush a une nouvelle fois fait part de toute l'admiration qu'il portait pour Vaclav Havel en le qualifiant de « personnalité historique ». Vaclav Havel, lui-même dramaturge à l'origine, se trouve actuellement dans la capitale américaine où il effectue un séjour d'études de deux mois sur invitation de la bibliothèque du Congrès des Etats-Unis.

Dans le cadre du colloque intitulé « La citoyenneté démocratique en Europe » qui a eu lieu, en début de semaine, au siège du CEFRES, à Prague, ses participants ont abordé, entre autres, le thème du message des dissidents. Quel est le poids aujourd'hui de ce message ? Antonella Cappelle, du Centre d'études et de recherches internationales, a répondu à Alena Gebertova.

Vaclav Havel perçoit son actuel séjour de deux mois aux Etats-Unis comme une occasion de se concentrer et de se consacrer à l'écriture. L'ex-président tchèque l'admet dans une interview qu'il a accordée au supplément du quotidien Hospodarske noviny, avant son départ pour Washington. Alena Gebertova l'a lue pour vous.

Le 11 avril dernier s'est tenue la Journée mondiale de solidarité avec les prisonniers politiques. Cette commémoration, mise en place il y a quelques années en référence à la libération de camp de Buchenwald, est malheureusement encore d'actualité. Un constat qui concerne également la Tchécoslovaquie de 1948 à 1989...

« Jean-Paul II a fondamentalement influencé l'évolution et l'ordre politique du monde ». La déclaration de l'ex-président tchèque, Vaclav Havel, caractérise l'esprit dans lequel se porte la majorité des textes et des témoignages parus dans la presse tchèque de ce lundi et qui sont consacrés au décès du pape Jean-Paul II. Alena Gebertova les a lus pour vous.

L'ex-président tchèque Vaclav Havel est parti pour un séjour d'études de deux mois aux Etats-Unis. Son programme s'annonce bien chargé - Vaclav Havel sera un étudiant privilégié de la bibliothèque du congrès américain, l'hôte de l'ancienne secrétaire d'Etat d'origine tchèque Madeleine Albright, et il doit rencontrer aussi l'ex-président Bill Clinton.

Vaclav Havel s'est envolé ce jeudi pour un séjour d'études aux Etats-Unis. L'ancien président de la République a reçu une bourse pour une durée de trois mois à Washington.

La cellule de prisonnier installée symboliquement ces derniers jours dans le centre de Prague par l'association l'Homme en détresse avait pour but de soutenir soixante-quinze dissidents cubains condamnés il y a deux ans à de lourdes peines dépassant parfois les vingt ans d'emprisonnement. En signe de solidarité, des dizaines d'hommes politiques et d'artistes tchèques se sont laissées incarcérer, à tour de rôle, dans cette cellule.

Les relations restent très tendues entre le Premier ministre social-démocrate, Stanislav Gross, et Miroslav Kalousek, le chef du parti chrétien-démocrate, deuxième principale formation de la coalition gouvernementale. Suite à l'affaire du financement de l'appartement de Stanislav Gross et des activités douteuses de la femme de ce dernier, le président de la République, Vaclav Klaus, a sommé les deux camps de trouver au plus vite un terrain d'entente pour sortir le pays d'une crise politique dont certains traits ont été qualifiés « d'absurdes et

L'ancien président tchèque Vaclav Havel fait part de son désaccord avec la politique cubaine de l'UE. Dans une tribune publiée ce vendredi par le quotidien français Le Figaro, Vaclav Havel dénonce un « indécent hommage rendu à Fidel Castro » depuis la récente normalisation des relations de pays de l'Union européenne avec La Havane. Pour l'ancien dissident pragois, « Il est suicidaire pour l'Europe de mettre en avant l'un de ses pires travers politiques qui consiste à dire que, pour parvenir à une certaine paix, le meilleur moyen est de rester indifférent à la liberté des autres. »