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Ce dimanche 28 septembre est célébré dans le pays comme le « Jour de l’Etat tchèque » - « Den České státnosti ». Il s’agit de la date de l’assassinat du duc de Bohême Saint Venceslas Ier, qui fut tué par son frère Boleslav dans la ville de Stará Boleslav, en 929 ou en 935. Ce dimanche une grande messe a été célébrée sur la place de Stará Boleslav, afin de commémorer le saint patron du pays. Si cette fête nationale a commencé à être célébrée avec la création de la Première République tchécoslovaque en 1918, elle fut par la suite interdite par le Protectorat de Bohême-Moravie et par le régime communiste. Ce n’est qu’après la Révoluion de velours, que le président Václav Havel réintroduit cette date dans le calendrier des fêtes nationales du pays.

Svatý Václav, ou Saint Venceslas, comme vous le savez déjà peut-être, est le saint patron de la République tchèque. Sa fête est célébrée le 28 septembre, date de son martyre. Et c’est donc à cette date que commencent « Les Festivités musicales », un événement faisant la part belle à la musique classique et qui porte son nom. Le festival, qui a gagné en réputation depuis dix ans qu’il existe, a proposé plus de 300 concerts et les échos positifs se sont multipliés. Cette année, les amateurs de musique classique de tout âge pourront savourer près de

Fête nationale aidant, le week-end écoulé en République tchèque a été riche en rassemblements. Tandis que des milliers de croyants étaient comme de tradition réunis à Stará Boleslav, samedi, lors de la messe célébrée pour la saint Venceslas patron du peuple tchèque, un millier de personnes ont manifesté, le lendemain, devant l’ambassade de Russie contre l’emprisonnement des membres du groupe de punk-rock féministe Pussy Riot. Si dans les deux cas, les participants se sont dispersés sans qu’aucun incident n’ait été recensé, le bilan a été tout autre

Les Tchèques se rappellent ce samedi, le 28 septembre, de l’anniversaire du décès de saint Venceslas, protecteur de la nation. A cette occasion, les salles représentatives du Château de Prague sont exceptionnellement ouvertes au public. Entre 9h et 17h tous les visiteurs peuvent voir notamment les armes légendaires de saint Venceslas, exposées dans le nouveau palais au Château. Traditionnellement, la fête est accompagnée d’un pèlerinage à Stará Boleslav clôturé par une messe célébrée par l’archevêque de Prague, Dominik Duka. Cette année, plusieurs milliers de personnes y ont assisté.

A l’occasion de la fête nationale célébrant la création de l’Etat, ce samedi 28 septembre, dix-sept personnalités tchèques ont reçu des mains du président du Sénat, Milan Štěch, une médaille commémorant leur mérite. Selon les paroles de Milan Štěch, il s’agit des personnes ayant contribué à ce que la République tchèque devienne un meilleur endroit pour vivre et qui avaient répandu le renom du pays dans le monde. Parmi eux se trouvent les décathloniens Roman Šebrle et Robert Změlík, la spécialiste du Japon Vlasta Winkelhöferová, ou encore Libor Peška qui a sauvé la vie d’une personne pendant les inondations.

Le pèlerinage en l'honneur de Saint Venceslas, le saint patron de la République tchèque, débute ce vendredi soir avec le transfert de la relique du saint homme de Prague à Stará Boleslav, où le fondateur du royaume de Bohême fut assassiné le 28 septembre en 929 ou en 935. Le 28 septembre est désormais un jour férié en République tchèque. Samedi, une messe sera donnée pour Saint Venceslas à Stará Boleslav par l'archevêque de Prague, Dominik Duka. Une foire et des concerts figurent également au programme de festivités auxquelles participent chaque année des milliers de personnes. Le chef de l'Etat Miloš Zeman a fait savoir qu'il n'assisterait pas à ces célébrations, rompant ainsi avec la tradition initiée par son prédécesseur, Václav Klaus. Celui-ci ne sera pas non plus présent puisqu'il est actuellement aux Etats-Unis d'Amérique.

Le chef de l'Etat Miloš Zeman a fait savoir qu'il n'assisterait pas aux célébrations en l'honneur de Saint Venceslas qui se doivent se tenir samedi 28 septembre dans la ville de Stará Boleslav, au nord-est de Prague. Il rompt ainsi avec la tradition initiée par son prédecesseur, Václav Klaus. Selon un porte-parole du Château de Prague, siège de la présidence, Miloš Zeman fêtera plutôt son 69e anniversaire ce jour-là. Les fêtes de Saint Venceslas célèbrent le saint patron de la République tchèque du nom du roi Venceslav 1er, le fondateur du royaume médiéval de Bohême. Le 28 septembre est un jour de fête national pour les Tchèques.

Outre saint Venceslas – svatý Václav, patron de leur nation, les Tchèques ont également célébré vendredi 28 septembre, jour de fête nationale, ce qu’ils appellent « Den české státnosti », soit le « Jour de l’Etat tchèque ». Si la traduction ne peut sans doute pas être guère meilleure, elle n’en reste pas moins approximative. Et ce pour une raison quelque peu curieuse : il n’existe en effet pas d’équivalent en français du mot tchèque « státnost ». Alors, forcément, nous ne pouvions pas faire autrement que de nous y intéresser.

Le Festival de musique de Saint-Venceslas a commencé dans la ville d’Ostrava en Moravie. Lors du concert inaugural, le 28 septembre, le public a entendu la soprano Martina Janková de l’Opéra de Zurich qui s’est produite avec l’ensemble de musique ancienne Collegium 1704. Au programme du concert ont figuré des cantates sacrées et profanes de Johann Sebastian Bach. La soprano Martina Janková est native de la ville d’Orlová en Moravie du Nord et elle est considérée comme une des meilleures chanteuses lyriques tchèques qui se sont imposées dans le contexte international. Au programme du festival qui durera jusqu au 28 octobre prochain il y a 29 concerts qui seront donnés dans 18 villes de Moravie et de Silésie.

Outre saint Venceslas – svatý Václav, patron de leur nation, les Tchèques ont également célébré en ce vendredi 28 septembre, jour de fête nationale, ce qu’ils appellent « Den české státnosti », soit le « Jour de l’Etat tchèque ». Si la traduction ne peut sans doute pas être guère meilleure, elle n’en reste pas moins approximative. Et ce pour une raison quelque peu curieuse : il n’existe en effet pas d’équivalent en français du mot tchèque « státnost ». Alors, forcément, nous ne pouvions pas faire autrement que de nous y intéresser.