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L’ONG ‘Člověk v tísni’ (L’homme dans le besoin en français) a déclaré ce lundi à l’occasion d’une conférence de presse avoir aidé plus de 12 000 familles dans le nord de l’Afghanistan, des familles sinistrées par la sécheresse de l’an passé et par les inondations importantes survenues cette année. Financée par l’Union européenne, les Nations unies et le Royaume-Uni, l’organisation aide les régions touchées en fournissant du travail à des centaines de personnes pour nettoyer les canaux et les puits et réparer les infrastructures endommagées. ‘L’homme dans le besoin’ assiste aussi les agriculteurs en fournissant du bétail ou des graines. Au total, 74 000 personnes seraient concernées par ces aides.

L’ONG ‘Člověk v tísni’ (L’homme dans le besoin en français) a déclaré ce lundi à l’occasion d’une conférence de presse avoir aidé plus de 12 000 familles dans le nord de l’Afghanistan, des familles sinistrées par la sécheresse de l’an passé et par les inondations importantes survenues cette année. Financée par l’Union européenne, les Nations unies et le Royaume-Uni, l’organisation aide les régions touchées en fournissant du travail à des centaines de personnes pour nettoyer les canaux et les puits et réparer les infrastructures endommagées. ‘L’homme dans le besoin’ assiste aussi les agriculteurs en fournissant du bétail ou des graines. Au total, 74 000 personnes seraient concernées par ces aides.

L’ONG tchèque Člověk v tísni (People in Need) a indiqué avoir apporté une aide à plus de 19 000 réfugiés somaliens qui affluent en Ethiopie au cours des dix mois qu’a duré sa mission. L’ONG, qui est la plus importante existante en République tchèque, a indiqué que c’était la première fois qu’elle s’était occupée d’un camp de réfugiés aussi grand. Depuis août 2011, 1 450 tonnes de denrées alimentaires ont notamment été distribuées. Actuellement, Člověk v tísni s’efforce essentiellement de concourir à l’alimentation des écoliers dans la région. Les réfugiés somaliens fuient la guerre et la crise alimentaire causée entre autres par la sécheresse.

Deux des plus importantes organisations non-gouvernementales tchèques fêtent leurs vingt ans d’existence. Retour sur l’action de l’ONG Adra et de People In Need (Člověk v tísni) en République tchèque et dans le monde, ainsi que sur les résultats obtenus au cours de ces missions.

La 14e édition du festival international du film documentaire sur les droits de l’homme Jeden Svět (One World - Un Monde) s’achève à Prague ce jeudi avec la cérémonie de clôture. « Vol spécial » du réalisateur suisse de Fernand Melgar, qui montre de l’intérieur le centre de détention administrative de Frambois près de Genève en suivant pendant trois mois le quotidien de vingt-cinq hommes en attente d’expulsion du territoire suisse, recevra le prix du meilleur film diffusé pendant les neuf jours du festival. Organisée par l’ONG Člověk v tisni (People in need), la 14e édition du festival, qui a été suivie par près de 25 000 spectateurs à Prague et va désormais se poursuivre dans quarante villes du pays, était centrée sur les mouvements de protestation, les soulèvement populaires et les révoltes dans le monde.

Le prix Homo Homini a été décerné, mardi, à Prague, en ouverture du festival du film documentaire sur les droits de l’homme Jeden svět (Un monde), aux médecins syriens de l’organisation Doctors Coordinate of Damascus (Médecins de Damas). Ce groupe de médecins travaille clandestinement afin de secourir les manifestants blessés par les forces de sécurité syriennes. Depuis mars 2011, les protestations contre le régime de Bachar el-Assad ont fait plus de 7 500 victimes. « L'assistance accordée dans la clandestinité par les médecins syriens de l'organisation Médecins de Damas, au risque de leur vie et de leur liberté, est d'une importance extraordinaire », a déclaré Šimon Pánek, directeur de l’ONG L’homme en détresse (Člověk v tísni) qui décerne le prix Homo Homini depuis 1995. La 14e édition du festival Jeden svět (One World), qui a pour thème les protestations, troubles et révoltes, se tient à Prague jusqu’au 15 mars prochain. Elle propose une centaine de documentaires de plus de quarante pays.

Du 6 au 15 mars se déroule comme chaque année à la même période, le festival Jeden Svět ou One World. Ce festival de films documentaires sur les droits de l’homme est l’un des grands rendez-vous du grand écran de l’année culturelle tchèque. Pour cette 14e édition, le festival tourne autour du thème « Protestations, troubles, révoltes ».

La coopération au développement s’est imposée, durant ses vingt dernières années, comme l’une des principales politiques des relations bilatérales de la République tchèque avec les pays du Sud. Le politologue et économiste Ondřej Horký vient de publier aux éditions Slon, un ouvrage intitulé ‘La coopération au développement de la République tchèque : discours, pratiques et contradictions’ et dans lequel il revient sur cet aspect mal connu de la politique étrangère tchèque.

Mardi 1er novembre a été donné, au cinéma Lucerna, à Prague, le coup d’envoi de la 7e édition du projet intitulé « Příběhy bezpráví » (Les histoires de l’injustice). Organisé par l’association humanitaire Člověk v tísni (L’homme en détresse), ce projet incite les élèves et les professeurs de l’enseignement secondaire du pays à se (re)plonger dans l’histoire de l’ancienne Tchécoslovaquie de la seconde moitié du XXe siècle, et ce à travers le cinéma et des rencontres avec les témoins des persécutions communistes.

L’organisation tchèque Člověk v tísni (People in need) a ouvert une école en Ethiopie. L’école pour 330 élèves a été ouverte dans la commune de Goble. C’est déjà la 14e école ouverte par l’organisation People in need en Ethiopie. Le projet a été financé en partie par la municipalité de Prague qui a accordé à la nouvelle école 1,85 million de couronnes (74 000 euros). Le maire de Prague Bohuslav Svoboda a déclaré à l’occasion de l’inauguration de la nouvelle école que la capitale tchèque continuera à appuyer les projets de ce genre. L’organisation People in need veille aussi sur l’amélioration de la qualité de l’enseignement dans les nouvelles écoles.