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Pour la quatrième année déjà, l'organisation non gouvernementale « Clovek v tisni » (L'homme en détresse) appelle l'opinion démocratique tchèque à manifester pour la libération des dissidents emprisonnés par le régime castriste à Cuba.

La tâche des observateurs militaires tchèques qui sont membres de la mission de l'ONU en Ethiopie est de suivre le conflit sur la frontière érythréenne. Ils aident également la population locale de se défendre contre les enlèvements et les vols du bétail. Les soldats tchèques opèrent dans la mission de l'ONU en Ethiopie depuis 2001. La Tchéquie y envoie annuellement deux observateurs. Selon le membre tchèque de la mission Karel Kucera la population locale réagit positivement à la présence des observateurs de l'ONU car les Ethiopiens sont convaincus que cette présence pourrait éviter la guerre dans la région.

Deux soldats tchèques ont été envoyés à Addis-Abeba, la capitale de l'Ethiopie, où ils participeront à une mission de paix de l'ONU. Pendant un an, ils observeront la frontière entre l'Ethiopie et l'Erythrée. Il s'agit de la septième mission tchèque dans cette région depuis 2001.

Nous vous en avons parlé cette semaine : quinze jours avant le 17e anniversaire de la Révolution de velours dans l'ancienne Tchécoslovaquie, l'association humanitaire Clovek v tisni, L'homme en détresse, et la Télévision tchèque ont lancé la 2e édition de leur projet destiné aux jeunes et intitulé « Pribehy bezpravi » (Les histoires de l'injustice). Des projections de documentaires sur les crimes du régime communiste suivies de débats sont organisées tout au long du mois de novembre dans pas moins de 500 collèges et lycées dans tout le pays. Cette

Une collecte organisée au mois d'octobre dernier par l'ONG L'homme en détresse sous le slogan : « Edifions une école en Afrique » a réuni plus de 62 000 euros ce qui permettra de construire trois écoles en Ethiopie.

Pour la deuxième année consécutive, l'organisation non gouvernementale tchèque « Clovek v tisni » (L'homme en détresse) et la télévision publique lancent au mois de novembre le projet cinématographique intitulé « Les histoires de l'injustice ». Il se propose de donner aux adolescents un éclairage sur la période communiste et les crimes commis par ce régime dans l'ancienne Tchécoslovaquie. Une manière aussi de mettre à jour les programmes scolaires, de briser le silence de nombreux enseignants. Cette année, plus de 500 écoles y sont associées.

Retour dans cette émission sur la minorité tchèque installée depuis 1823 dans la région du Banat, aujourd'hui sur le territoire de la Roumanie. Selon un dernier recensement, qui date de 1992, 5800 personnes se déclaraient membre de cette minorité. En moins de quinze ans pourtant, nombreux sont ceux qui sont déjà repartis vers la terre de leurs ancêtres, en République tchèque. On estime aujourd'hui qu'il reste de 2000 à 3000 de ces descendants d'émigrés de Bohême au 19e siècle, répartis dans une petite dizaine de villages près de la frontière

Vaclav Havel et l'archevêque sud-africain Desmond Mpilo Tutu ont publié, lundi, une déclaration commune dans laquelle ils s'expriment sur le régime militaire répressif qui règne en Birmanie. A l'occasion du soixante et unième anniversaire de la dissidente birmane Aung San Suu Kyi, emprisonnée depuis bientôt onze ans, l'ancien président de la République tchèque et le prix Nobel de la paix ont invité le Conseil de sécurité de l'ONU à adopter une résolution à l'encontre du pays afin de venir en aide à l'opposition démocratique.

On souhaiterait ne pas être obligé d'en parler, car cela signifierait peut-être une bonne nouvelle pour les droits de l'homme sur l'île de Cuba. Pourtant, ce 17 mars, c'est déjà la troisième année que des personnalités tchèques, du monde intellectuel, politique et artistique, se font volontairement enfermer symboliquement dans une cellule de prisonnier.

Le 26 décembre 2004, un tsunami ravageait les côtes de l'Asie du sud-est faisant plus de 200 000 victimes. Parmi les disparus de l'une des catastrophes naturelles les plus dévastatrices de ces dernières années, au moins huit Tchèques. Après la vague sismique, une autre vague, de solidarité cette fois, s'était formée un peu partout dans le monde, y compris en République tchèque, pour venir au secours des rescapés et participer à la reconstruction des treize pays touchés.