"Lorsque j'ai entendu, pour la première fois, des mélodies de
Bohuslav Martinů, ses polkas pour piano, sa "Comédie sur le
pont" et même les thèmes de ses symphonies inimitables, j'ai
éprouvé la même sensation qu'en lisant l'équation d'Albert Einstein
exprimant sa théorie de la relativité. Comment était-il possible de
susciter tant d’émotions avec des moyens aussi modestes ?"
s'interroge le compositeur tchèque, Viktor Kalabis.