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C’est par un concert de la violoncelliste américaine Alisa Weilerstein accompagnée de la Philharmonie tchèque dirigée par Jiří Bělohlávek dans la salle du Rudolfinum que démarre, ce mardi soir, la 6e édition du festival international de musique Dvořákova Praha (La Prague de Dvořák). Pour cette ouverture figure au programme le Concerto pour violoncelle n° 2 en si mineur. Consacré, comme son nom l’indique, à l’œuvre du compositeur Antonín Dvořák, mais aussi à d’autres grands compositeurs de l’histoire mondiale de la musique, le festival propose une vingtaine de concerts jusqu’au 20 septembre. Parmi les temps forts attendus figurent entre autres les concerts du pianiste russe Evgeny Kissin, du violoniste lituanien Julian Rachlin, du chanteur Adam Plachetka ou encore de l’Orchestre de chambre de Bâle, de l’Orchestre symphonique de Pékin et de l’Orchestre symphonique allemand de Berlin avec le pianiste polonais Rafal Blechacz.

Ce vendredi commence le festival de Verdi à Prague par une première de La Traviata dans l’Opéra d’Etat. L’événement est organisé à l’occasion du 200e anniversaire de la naissance du compositeur italien du style romantique, Giuseppe Verdi. L’ensemble du Théâtre national slovaque sera l’invité spécial du festival. Les organisateurs proposent également aux amateurs de Verdi une soirée gala qui se tient le jour de son anniversaire, le 10 octobre. Les pièces les plus populaires de ce compositeur y seront jouées. Le festival se déroule jusqu’au 25 octobre 2013. Il sera clôturé par la première de la pièce Simon Boccanegra. Celle-ci n’a été jouée qu’une seule fois dans toute l’histoire du Théâtre nationale.

La ville éternelle de Rome, « Roma aeterna », c’est le thème principal de cette quatorzième édition des Fêtes d’été de musique ancienne. L’événement musical qui s’étale sur trois semaines s’apprête à passer dans sa seconde moitié de programmation. Radio Prague s’est entretenu avec Monika Nováková, directrice générale du festival.

C’est par un concert de l’Orchestre philharmonique tchèque dirigé par Jiří Bělohlávek et une interprétation des non moins célèbres poèmes symphoniques de Bedřich Smetana « Ma Patrie » que s’ouvre, ce jeudi soir, la 55e édition du festival international de musique d’opéra et classique Smetanova Litomyšl (La Litomyšl de Smetana). Située en Bohême de l’Est, Litomyšl est la ville d’origine du compositeur Bedřich Smetana. Vingt-trois concerts et opéras figurent cette année au programme du festival, pour lesquels les organisateurs attendent près de 30 000 spectateurs. Le festival, qui constitue une des principales manifestations du genre organisées chaque année en République tchèque, peu après Le Printemps de Prague, refermera ses portes le 30 juin.

La 68e édition du prestigieux festival international de musique Le Printemps de Prague s’achève ce dimanche soir avec un concert de l’Orchestre philharmonique tchèque dirigé par le Russe Vassili Sinaїski. Dans la Salle Smetana de la Maison municipale seront interprétés Carnaval d’Antonín Dvořák, Sérénade de Josef Suk et Le Sacre du printemps d’Igor Stravinsky. Depuis l’ouverture du festival, traditionnelement le 12 mai dernier, marquée par l’interprétation du cycle de poèmes symphoniques « Ma Patrie » de Bedřich Smetana par l’Orchestre philharmonique de Radio France, 45 concerts et 6 opéras ont été proposés au public. Cette 68e édition était axée notamment sur la musique française, plusieurs ensembles, interprètes et auteurs français ayant été présentés. Ce dimanche, les organisateurs ont annoncé avoir réalisé un chiffre d’affaires record avec 93 % des billets vendus pour un montant de 22,5 millions de couronnes (environ 900 000 euros).

Le festival de musique Printemps de Prague propose un récital du violoniste français Renaud Capuçon au palais de Rudolfinum ce mardi. Accompagné de Khatia Buniatishvili au piano, l’artiste français interprétera des œuvres de Johannes Brahms, Béla Bartók et Ludwig van Beethoven. Au même moment, l’ensemble Ars Cameralis présentera des œuvres de compositeurs contemporains tchèques au monastère Sainte Agnès à Prague. Un concert de l’Orchestre Philharmonique tchèque clôturera le Printemps de Prague ce dimanche avec des œuvres d’Antonín Dvořák, Igor Stravinskij et Josef Suk.

L'Ensemble intercontemporain, dirigé par le chef d'orchestre Tomáš Hanus, a présenté dimanche soir la première mondiale de l'oeuvre musicale My Life Without Me, créée par un des compositeurs tchèques actuels, les plus renommés, Miroslav Srnka. L'ensemble français accompagnait au chant la soprano américaine Claron McFadden. La première partie de la soirée était dédiée à des oeuvres contemporaines de Jonathan Harvey, du fondateur de l'Ensemble intercontemporain Pierre Boulez, et de Bruno Mantovani.

Le président de la République Miloš Zeman, en poste depuis mars dernier, est à nouveau au travail après avoir souffert d’une infection virale selon son cabinet. Il ne devrait pas sortir de son bureau cette semaine afin de pleinement récupérer. Âgé de 69 ans, le chef de l’Etat a participé dimanche à la soirée d’ouverture du festival du Printemps de Prague mais a semblé amoindri quelques jours plus tôt lors d’une cérémonie liée aux joyaux de la couronne tchèque. Titubant et peu sûr de lui, le comportement de Miloš Zeman a fait l’objet de nombreuses spéculations avant que son cabinet ne parle d’une infection virale.

La 68e édition d’une des manifestations les plus prestigieuses du monde de la musique, le festival international le Printemps de Prague, a débuté dimanche à la Maison municipale de Prague, dont la soirée d’ouverture s’est jouée à guichets fermés. Le cycle de poèmes symphoniques « Má vlast », (« Ma patrie ») de Bedřich Smetana, qui inaugure traditionnellement le festival, a été interprété pour la première fois par l’Orchestre Philharmonique de Radio France, dirigé par le chef d’orchestre canadien Peter Oundjian. Le festival se poursuit jusqu’au 2 juin

Musicien français pour les Tchèques et tchéco-allemand pour les Français, ami de Beethoven et professeur de Berlioz, Liszt ou Gounod, Antonín Rejcha (appelé en France Antoine Reicha) était, dirait-on aujourd’hui, un « citoyen européen ». Né à Prague en 1770, ce compositeur, théoricien et pédagogue est passé par Bonn, Hambourg et Vienne, avant de s’installer, pour de bon, à Paris. Du 18 au 20 avril, un premier colloque international consacré à Antonín Rejcha se déroulera dans la capitale française. Organisé par l’Université de la Sorbonne, le Conservatoire