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Le Musée des Arts et Métier de Prague vient de faire une acquisition unique. La collectionneuse et mécène d’art Věra Neumann qui vit en Suisse, lui a fait don d’un cycle de lithographies et de dessins d’Alfons Mucha, un des artisans de l’Art nouveau. S’inspirant du Pater, prière connue de tous les chrétiens, l’auteur avait exprimé dans cette œuvre ses tendances spirituelles et donné sa vision du christianisme.

Le Musée des Arts décoratifs de Prague va recevoir une nouvelle collection d'oeuvres d'Alfons Mucha. Offerte par la mécène tchèque, vivant en Suisse, Věra Neumannová, cette collection représente pour le musée le don le plus important depuis 1995 lorsqu'il a reçu le Trésor de Karlštejn. La collection sera présentée à la presse ce jeudi. Pour l'heure, selon la porte-parole du musée a seulement révélé qu'il s'agissait d'une collection unique dont certaines oeuvres avaient été présentées lors d'une grande exposition Mucha à la Maison municipale.

Depuis mai 2012, l’Epopée slave, l’œuvre majeure d’Alfons Mucha, un des maîtres de l’Art nouveau en peinture, est de nouveau exposée à Prague, au Palais des foires (Veletržní palác en tchèque). Kateřina Průšová est lectrice à la Galerie nationale de la ville de Prague et enseigne l’histoire de l’Art à l’Université anglo-américaine. Et c’est avec une grande gentillesse qu’elle a accepté d’être notre guide pour nous faire découvrir ce cycle de vingt tableaux. Cette deuxième partie de la visite nous permet d’entrevoir le talent de Mucha pour la mise

Vendredi dernier est décédée à Prague Geraldine Mucha, veuve de l’écrivain Jiří Mucha et belle-fille du peintre Alfons Mucha. Une information de Simona Kordová de la fondation Mucha. Geraldine Mucha est morte entourée de ses proches à l’âge de 95 ans. Née à Londres en 1917, Geraldine Mucha avait fait la connaissance de Jiří Mucha au cours de la Deuxième Guerre mondiale et après la guerre elle s’est établie avec son mari à Prague. Douée pour la musique, elle a composé entre autre un concerto pour piano, une suite de mélodies populaires tchèques et la musique pour le ballet Macbeth.

Depuis mai 2012, l’Épopée slave, l’œuvre majeure d’Alfons Mucha, un des maîtres de l’Art nouveau en peinture, est de nouveau exposée à Prague, au Palais des foires (Veletžrní palác en tchèque). Kateřina Průšová est lectrice à la Galerie nationale de la ville de Prague et enseigne l’histoire de l’Art à l’Université anglo-américaine. Et c’est avec une grande gentillesse qu’elle a accepté d’être notre guide pour nous faire découvrir ce cycle de vingt tableaux, qui illustre la vision très personnelle de Mucha sur l’histoire des peuples slaves. Elle

La commission culture du conseil municipal de Prague a donné son aval à l’unanimité, ce mercredi, au prêt de L’Epopée slave d’Alfons Mucha pour son exposition au Japon. Longue de quatre mois, cette exposition devrait se tenir en 2017 au Centre artistique national de Tokyo. La proposition doit encore être débattue également par l’ensemble du conseil municipal avant une autorisation définitive du ministère de la Culture. Si celui-ci donnait également son accord, ce serait la première fois que l’ensemble de cette œuvre, qui regroupe vingt tableaux monumentaux retraçant les grands moments de la mythologie des peuples slaves, serait exposée à l’étranger. L’Epopée slave est actuellement provisoirement exposée au Palais des foires à Prague.

C’est ce jeudi que s’est ouverte au Palais des foires à Prague l’exposition de l’Epopée slave d’Alfons Mucha. Le cycle des toiles monumentales retraçant l’histoire des peuples slaves retrouve l’endroit où il a été présenté pour la première fois. En 1928 Alfons Mucha a lui-même préparé l’exposition du cycle alors encore inachevé au Palais des foires, l’un des premiers édifices fonctionnalistes de la capitale. Il ne pouvait pas savoir que son œuvre majeure ne serait présentée à Prague dans son intégralité que dans 84 ans.

L’exposition de l’Epopée slave, œuvre monumentale du peintre tchèque Alfons Mucha, sera ouverte au public à partir de ce jeudi au Palais des foires. Cette ouverture fera suite à sa présentation officielle ce mercredi. Déménagée de Moravský Krumlov, où les vingt tableaux retraçant l’histoire des peuples slaves sont restés exposés depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale jusqu’à l’année dernière, l’Epopée slave revient ainsi à l’endroit où elle avait été présentée pour la première fois au public en 1928. L’œuvre a longtemps été l’objet d’un important litige entre la petite ville de Moravský Krumlov, où elle était exposée, et Prague, propriétaire qui souhaitait la récupérer. Alfons Mucha avait choisi de léguer l'Epopée slave à la capitale à condition toutefois que celle-ci soit exposée dans un bâtiment destiné à l'accueillir.

L’exposition de l’Epopée slave, œuvre monumentale du peintre tchèque Alfons Mucha, sera ouverte au public à partir de ce jeudi au Palais des foires. Cette ouverture fera suite à sa présentation officielle ce mercredi. Déménagée de Moravský Krumlov, où les vingt tableaux retraçant l’histoire du peuple slave sont restés exposés depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale jusqu’à l’année dernière, l’Epopée slave revient ainsi à l’endroit où elle avait été présentée pour la première fois au public en 1928. L’œuvre a longtemps été l’objet d’un important litige relatif à ses droits de propriété entre la petite ville de Moravský Krumlov et Prague, propriétaire et qui souhaitait la récupérer. Alfons Mucha avait choisi de léguer l'Epopée slave à la capitale à condition toutefois que celle-ci soit exposée dans un bâtiment destiné à l'accueillir.

La préparation de l'exposition consacrée à la présentation de l'Epopée slave du peintre Alfons Mucha à la Galerie nationale (Veletržní palác) devrait coûter 21 millions de couronnes de plus que le budget initial. La ville de Prague avait apporté 15 millions de couronnes pour l'exposition mais la Galerie nationale en a dépensé 36 millions. C'est ce que le directeur de la Galerie nationale de Prague (GHMP), Milan Bufka a déclaré à l'Agence tchèque de presse (ČTK). Mécontents, les responsables municipaux attendent de la Galerie qu'elle utilise ses propres fonds afin de couvrir une partie des frais de cette exposition monumentale qui devrait être ouverte au public très prochainement.