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L'ancien président, Vaclav Havel, a déclaré pour l'agence DPA que les efforts de la Russie de s'ingérer dans le développement de l'Europe centrale sont de tristes vestiges de la guerre froide. Il a refusé aussi la tendance à ne pas reconnaitre le danger représenté par les dictatures qui tentent de se fournir en armes nucléaires qu'elles utiliseraient pour du terrorisme d'Etat. L'implantation du radar américain en Tchéquie est important du point de vue psychologique et, d'après Vaclav Havel, il est impossible de faire des concessions à la Russie, car la situation serait encore pire.

Le projet de l'architecte Jan Kaplicky, qui est sorti vainqueur d'un appel d'offres pour la nouvelle Bibliothèque nationale et qui a été affublé de la dénomination familière de «pieuvre », ne cesse de défrayer la chronique et de provoquer les émotions. Au moment où son installation, prévue initialement sur l'esplanade de Letna, demeure très incertaine compte tenu de la position négative à son égard du conseil municipal, où le clivage entre les camps de ses partisans et de ses opposants semble s'approfondir, le quotidien Lidove noviny publie à ce

Après avoir reçu, en février dernier, deux Oscars à Hollywood pour son film documentaire « Une vérité qui dérange », l'ancien vice-président américain Al Gore s'est vu décerner, vendredi, conjointement avec le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), le prix Nobel de la paix pour sa campagne de sensibilisation aux dangers du réchauffement climatique. Un choix controversé qui n'a pas manqué de susciter une multitude de réactions un peu partout dans le monde, y compris en République tchèque, où son président Vaclav Klaus

« La liberté et la responsabilité » - dans la politique, l'économie et dans les médias : tel est le thème de la conférence Forum 2000 qui se tient jusqu'à mardi à Prague. La tradition des rencontres de politiciens actuels et anciens, philosophes, représentants du milieu de l'entreprise, savants et autorités religieuses du monde entier a été créée il y a 11 ans par l'ancien président tchèque, Vaclav Havel.

Prague accueille la conférence Forum 2000, dont la première édition a eu lieu sous l'impulsion de Vaclav Havel il y a 11 ans. Inaugurée dimanche soir, dans l'église désacralisée Sainte-Anne à Prague transformée en centre multiculturel et spirituel appelé le Carrefour pragois, la conférence de trois jours commence officiellement lundi au palais Zofin. Parmi les personnalités de la diplomatie et de la vie politique, culturelle et religieuse invitées au Forum 2000, on note l'ex-chef de la diplomatie américaine, Madeleine Albright, l'ancien président de la banque mondiale Paul Wolfowitz, ou l'avocate iranienne Shirin Ebadi, prix Nobel de la paix 2003 pour son action en faveur des droits de l'homme, des femmes et des enfants en Iran. Le thème principal des débats de cette édition : la liberté et la responsabilité.

L'ancien président tchèque Vaclav Havel espère que le président ukrainien Viktor Youchtchenko et la première dame de la révolution Orange qui a orientée l'Ukraine vers la démocratie, Youlia Tymochenko, puissent oublier leurs disputes d'autrefois et parvenir à la formation d'une nouvelle coalition gouvernementale. Les deux politiciens pro-occidentaux sont les seuls capables de s'assurer la majorité au parlement après les élections législatives anticipées organisées pour sortir le pays d'une longue crise politique, estime Havel.

L'ancien président Vaclav Havel est choqué de voir sur la liste de candidats à la fonction présidentielle un seul nom, celui de l'actuel président Vaclav Klaus. L'élection présidentielle aura lieu en février prochain. Il y a un an déjà, Vaclav Havel a fait appel aux leaders des partis politiques de s'entendre sur un contre candidat à Vaclav Klaus, puisqu'un duel de deux candidats serait, selon Havel, non seulement dans l'intérêt de la démocratie, mais aussi dans l'intérêt de Vaclav Klaus. Un bon adepte à la fonction présidentielle serait, pour Vaclav Havel, le chef de la diplomatie, Karel Schwarzenberg, et il aimerait aussi voir une femme au Château de Prague.

L'ancien président tchèque Vaclav Havel est devenu le temps d'une journée, jeudi, rédacteur en chef du quotidien économique Hospodarske noviny. « La responsabilité comme destin » : tel était le titre de l'éditorial signé Vaclav Havel pour son rôle inhabituel dans cette édition exceptionnelle. Il cède dans les pages la parole à diverses personnalités de son choix, parmi lesquelles Madeleine Albright ou encore au journaliste et ancien dissident polonais Adam Michnik.

A la veille de son 71e anniversaire, l'ancien président tchèque Vaclav Havel était le rédacteur en chef de l'édition de jeudi du quotidien Hospodarske noviny. Une édition très spéciale donc, dans laquelle il donne son point de vue sur des questions nationales et internationales, et laisse la parole à plusieurs de ses amis.

L'ancien président tchèque Vaclav Havel a rencontré lundi l'opposition russe, au centre Sakharov de Moscou. Pour Havel, lui-même dissident du régime communiste pendant la normalisation, la Charte 77 tchécoslovaque peut servir d'inspiration aux défenseurs des droits de l'homme en Russie. Au cours de son séjour dans la capitale russe, Vaclav Havel a notamment rencontré Sergej Kovaljov et l'ancien champion d'échecs Garri Kasparov.