Articles correspondants

L’ancien président tchèque Václav Havel est toujours à l’Hôpital militaire central de Prague-Střešovice. Il souffre d’inflammation des voies respiratoires et son état ne change pas. Il est soigné par des antibiotiques. Les médecins ne savent pas pour le moment quand il pourra quitter l’hôpital. Sa maladie n’est pas cependant aggravée par des complications. Les employés du bureau de l’ancien président espèrent que Václav Havel pourra participer le mardi 22 mars à la première du film « Odcházení - Sur le départ » qu’il a lui-même réalisé d’après la pièce de théâtre du même nom. L’état de santé de Václav Havel s’est détérioré il y a une semaine.

Dans ce même entretien accordé à Hospodářské noviny avant d'être hospitalisé cette semaine à cause de nouveaux ennuis respiratoires, Václav Havel a critiqué son successeur à la présidence de la République, Václav Klaus, en raison du soutien apporté par l'actuel chef de l'Etat à Ladislav Bátora, un homme proche de l'extrême-droite tchèque qui a failli devenir conseiller du ministre de l'Education. "Václav Klaus teste pour savoir jusqu'où il peut aller, et il semble qu'il peut dire tout ce qu'il veut sans être importuné", selon V. Havel, qui rappelle également certaines déclarations de Václav Klaus à propos de l'ancien camp de concentration pour Roms de Lety u Pisku.

L’ancien président tchèque Václav Havel estime que l'élection présidentielle au suffrage direct serait un changement positif mais ne croit pas que le Parlement adoptera ce projet même si selon lui cela donnerait au président une légitimité différente de celles des autres dirigeants. L’ancien président a fait cette déclaration dans un entretien accordé au journal Hospodářské noviny. A son avis, le Parlement n’adoptera pas cette réforme par peur de perdre une prérogative importante. Václav Havel aimerait voir parmi les candidats à la présidence de la République Šimon Pánek de l’organisation « People in need », l’économiste Jan Švejnar, l’actuel ministre des Affaires étrangères Karel Schwarzenberg ou l’actuelle présidente de la Chambre des Députés Miroslava Němcová.

Dans ce même entretien accordé à Hospodářské noviny avant d'être hospitalisé cette semaine à cause de nouveaux ennuis respiratoires, Václav Havel a critiqué son successeur à la présidence de la République, Václav Klaus, en raison du soutien apporté par l'actuel chef de l'Etat à Ladislav Bátora, un homme proche de l'extrême-droite tchèque qui a failli devenir conseiller du ministre de l'Education. "Václav Klaus teste pour savoir jusqu'où il peut aller, et il semble qu'il peut dire tout ce qu'il veut sans être importuné", selon V. Havel, qui rappelle également certaines déclarations de Václav Klaus à propos de l'ancien camp de concentration pour Roms de Lety u Pisku.

L’état de santé de Václav Havel est stabilisé, ont annoncé, mercredi, les médecins de l’Hôpital militaire de Prague. L’ancien président a été hospitalisé mardi en raison d’une inflammation des voies respiratoires. Il devrait y rester plusieurs jours et devrait être rétabli pour la sortie en salles de son premier film, programmée le 24 mars. Vaclav Havel, qui fêtera ses 75 ans en octobre prochain, est régulièrement victime d’ennuis de santé, et notamment respiratoires, plus ou moins graves. Son long séjour dans les prisons communistes dans les années 1980 et son intensif tabagisme de longue date sont les principales raisons de ses ennuis qui l’ont conduit à l’hôpital à de maintes reprises. En 1996, il avait été opéré d’un cancer du poumon et une importante partie de son poumon droit lui avait été retirée.

L’ancien président Václav Havel, qui souffre d’une inflammation des voix respiratoires, a été admis à l’Hôpital militaire de Prague, après avoir été d’abord soigné à domicile. La maladie l’a obligé à annuler son programme des prochains jours. Selon Martin Vidlák, son assistant, l’ancien président espère être guéri avant le 24 mars prochain, date de la première du film que Václav Havel a réalisé d’après sa pièce de théâtre intitulée « Sur le départ ». Il souffre relativement souvent de maladies d’appareil respiratoire et ces dernières années aussi d’arythmie cardiaque.

L'ex-président Václav Havel a appelé à une opération militaire des pays occidentaux en Libye, en cas de poursuite de la guerre civile, dans une interview publiée dans l’édition de lundi du quotidien économique Hospodářské noviny. De son côté, le président en fonction, Václav Klaus, a exprimé son ferme désaccord, tandis que le gouvernement adopte une position prudente sur la question et refuse pour l’instant toute intervention armée.

L’ancien président Václav Havel souffre d’une affection des voix respiratoires supérieures. La maladie l’a obligé à supprimer son programme des prochains jours. Une information de Martin Vidlák, assistant de Václav Havel. Selon cette source l’ancien président espère être guéri avant le 24 mars prochain, date de la première du film que Václav Havel a réalisé d’après sa pièce de théâtre intitulée « Sur le départ ». L’ancien président est soigné à domicile. Il souffre relativement souvent de maladies d’appareil respiratoire et ces dernière années aussi d’arythmie cardiaque.

L’ancien président tchèque Václav Havel s’est prononcé, dans une interview pour le quotidien Hospodářské noviny, pour une intervention militaire de la communauté internationale en Libye, en cas de prolongement de la guerre civile dans ce pays. Selon Václav Havel, les pays occidentaux devraient agir « de manière urgente, informée et avec perspicacité ». L’ex-président tchèque a comparé la situation en Lybie à celle dans l’ancienne Yougoslavie : d’après lui, la communauté internationale avait trop hésité avant d’intervenir contre le régime de Slobodan Miloševic en Serbie et elle ne devrait pas répéter cette erreur.

A noter qu’une intervention militaire en Libye ne fait pas l’unanimité sur la scène politique tchèque : le président de la République Václav Klaus qui représentera la République tchèque, en fin de semaine, au sommet européen sur la situation en Libye, s’y oppose catégoriquement. « Je n’étais pas d’accord avec l’idée de Monsieur l’ex-président de bombarder Belgrade et je ne suis pas d’accord avec lui maintenant », a-t-il déclaré lundi matin, à Prague, à l’occasion du lancement de son nouveau livre. Le ministre des Affaires étrangères Karel Schwarzenberg, lui, a appelé à « une grande prudence » dans la discussion sur une éventuelle opération militaire étrangère en Libye.

L’ancien président de la République, Václav Havel, sera très présent dans les médias en ce mois de mars. C’est le 24 que sort en salles son premier film, un événement attendu impatiemment par la critique et le public. Et cette semaine, il a présenté à la presse sa bibliothèque, un projet qui lui tient à cœur depuis déjà quelques années et qui est lentement mais sûrement en train de se concrétiser.