La chanson du siècle - (1943-1947)

1947 : Říkej mi to potichoučku - Dis-le moi tout bas

Parallèlement à la bonne humeur ambiante qui caractérisait cette période de victoire et de liberté retrouvée, la scène musicale tchécoslovaque de l’époque était caractérisée par une création très abondante de musique de danse. Les groupes de danse de l’époque, avec au premier plan l’Orchestre Karel Vlach, avaient fort à faire pour satisfaire les appétits d’un public jeune et avide de musique et de danse. Plus...

1946 : Světla promenád – Les lumières des promenades

En 1946, les villes qui, pendant la guerre devaient obligatoirement rester dans l’obscurité, retrouvèrent petit à petit leurs lumières. Ainsi l’éclairage public refit rapidement son apparition, tout comme les publicités lumineuses d’avant-guerre et les vitrines éclairées des magasins qui, grâce à l’approvisionnement de l’Administration des Nations unies pour le secours et la reconstruction (UNRRA), se mirent à proposer des biens jusqu’alors inconnus dans le pays. Audio Player Plus...

1945 : Škoda lásky, ou la plus célèbre des polkas dans le monde

La libération en 1945, photo: ČT Nous parlons donc d’un autre roi de la musique populaire tchèque, de celui qui, en plus d’être le chef de musique bien-aimé des musiciens de Zbraslav, a connu le plus grand succès à l’international, Jaromír Vejvoda. Plus...

1944 : Šumění deště - Le murmure de la pluie

Nous vous avons déjà parlé de l’interdiction de tous les types de danse sur le territoire du protectorat de Bohême-Moravie dès 1941. Ceci a eu un impact sur la production des orchestres et groupes de l’époque, dont les créations sont devenues moins dansantes et plus élaborées. Plus...

1943 : Sukýnka (Červená sukýnka) – La jupette (La jupette rouge)

Nous vous avons déjà présenté trois personnalités de la musique populaire à travers les extraits des tubes du siècle précédents. Aux noms de Karel Vacek, Jaromír Vejvoda et Josef Poncar est venu s’ajouter, pendant la période du protectorat, celui de Václav Bláha, puis celui de Karel Valdauf. Plus...

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