1977 : « Duhová víla » – « La fée de l’arc-en-ciel »
Photo: Supraphon
La radio et la télévision accordent énormément de place aux stars déjà établies et consacrent ainsi leur popularité. L’une de ces chanteuses, Hana Zagorová, a grandi à Ostrava et a étudié à Brno, en Moravie, avant d’établir sa carrière à Prague.
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1976 : « Já ti zabrnkám » – « Je vais te jouer un peu de guitare »
Photo: Supraphon
D’un point de vue musical, en quoi cette année fut-elle caractéristique ? D’après les critiques, l’orchestre de l’année fut le Pražský Big Band de Milan Svoboda. Il permit à de nombreux musiciens tels que Michael Kocáb et Ondřej Soukup de se réaliser. Plus tard, ceux-ci influencèrent grandement la création musicale populaire. Naďa Urbánková et Karel Gott furent récompensés des Rossignols d’or attribués aux interprètes les plus populaires.
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1975 : « Lásko » – « Mon amour »
Photo: Supraphon
Au milieu des années 1970, Prague était la capitale de la musique populaire tchèque. Mais les villes moraves de Brno et d’Ostrava ont également vu naître des interprètes et auteurs de renom. C’est justement à Ostrava, en Moravie-Silésie, qu’est née Marie Rottrová, une chanteuse charismatique qui s’est produite avec les groupes Majestic et Flamingo. Elle a débuté avec un répertoire de soul américain et les années 1970 l’ont consacrée.
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1974 : « Holubí dům » – « La maison des colombes »
Photo: Supraphon
Cette année-là, la voix éraillée si caractéristique de Jiří Schelinger commence à s’imposer sur la scène de la musique populaire tchèque.
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1973 : « Kávu si osladím » – « Je sucre mon café »
Photo: Supraphon
Nombre de tubes associés aux chanteurs ou aux chanteuses tchèques sont des reprises d’auteurs étrangers qui étaient déjà célèbres ailleurs avant que leurs chansons ne rencontrent le succès auprès du public tchécoslovaque. À l’époque, faire le choix de réécrire et de chanter en tchèque un tube étranger s’avérait gagnant presque à tous les coups.
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